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Bonjour

Bonjour, ceci est mon blog. J'y déposerai mes idées, mes textes, mes réflexions...je vous y attends pour partager nos envies, nos espérances aussi, faire bouger les lignes, questionner nos peurs et nos indifférences, conjuguer nos intelligences ...

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    Synopsis de l’ouvrage :   Entre Möbius et Morin : le pari éducatif au risque de la complexité                                                                                           L’écriture de cet ouvrage participe d’une intention et d’une découverte. En première intention, compléter par quelques pages celles déjà écrites il y a quelques années sur la pédagogie, comme processus d’appropriation et d’apprivoisement mutuels dans les situations conjuguant transmission et apprentissage [1] . La réflexion et le retour sur 30 années d’enseignement ont fait réapparaître un élément qui permit de circonscrire le projet et tout à la fois de le polariser : l’utilisation faite pendant certains cours d’anthropologie en Sciences de l’Education, d’une figure mathématique, la bande (ou ruban) de Möbius, pour faciliter l’entrée dans une pensée complexe et éclairer les démonstrations liées aux phénomènes éducatifs, et de rencontres interculturelles.
        Quelques questions anthropo-logiques autour du religieux   Introduction : mais où sont donc passés nos auxiliaires ? La découverte des langues fondatrices de la civilisation méditerranéenne et moyen-orientale est une expérience forte et enrichissante, qui renvoie à la fois à une proximité culturelle structurante, et à une distance épistémologique étonnante. Ainsi, dès l’entrée, une particularité saute aux yeux, qui ne laisse pas d’interroger l’impétrant ou l’apprenti linguiste : les différentes langues et parlers dits de la région du « croissant fertile », hébreu, arabe, araméen chaldéen, copte…expriment le quotidien ou le périphérique en se donnant des moyens excluant l’emploi de deux verbes essentiels parmi ceux utilisés dans les langues occidentales, les verbes « être » et « avoir ». Des périphrases, pronoms ou des prépositions viennent à la rescousse et en remplacement de ces absences dont on dirait côté occident qu’elles nuisent et obèrent d’emblée toute fo
extrait de www.deslettres.fr Lettre de Victor Hugo à Lamartine : « Voilà pourquoi j’ai fait Les Misérables » Mon illustre ami, Si le radical, c’est l’idéal, oui, je suis radical. Oui, à tous les points de vue,  je comprends, je veux et j’appelle le mieux ; le mieux, quoique dénoncé par le proverbe, n’est pas ennemi du bien, car cela reviendrait à dire : le mieux est l’ami du mal. Oui, une société qui admet la misère, oui, une religion qui admet l’enfer, oui, une humanité qui admet la guerre, me semblent une société, une religion et une humanité inférieures, et c’est vers la société d’en haut, vers l’humanité d’en haut et vers la religion d’en haut que je tends : société sans roi, humanité sans frontières, religion sans livre. Oui, je combats le prêtre qui vend le mensonge et le juge qui rend l’injustice. Universaliser la propriété (ce qui est le contraire de l’abolir) en supprimant le parasitisme, c’est-à-dire arriver à ce but : tout homme proprié