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la horde et le troupeau



DHEPS 21 01 2016

Les pratiques sociales, quid, quod, quo modo ?

                                            

le travail social s’inscrit à l’intérieur d’une grande fonction qui n’pas cessé de prendre des fonctions nouvelles depuis des siècles, qui est la fonction de surveillance-correction. Surveiller les individus, et  les corriger,
 dans les deux sens du terme, c’est-à-dire les punir ou les pédagogiser.
                                                                                                                                             Michel Foucault (1972)
      
    QUID ?                                                                                                                                     

T.S.: double référence :
1- le travail, cad une activité aux caractéristiques multiformes et variées visant à transformer et à améliorer, et l’enjeu, le côté sociétal de cette activité, qui sera de promouvoir le changement, la résolution de problèmes, dans un contexte spécifique, celui des relations humaines. Si nous  suivons la définition adoptée par la Fédération Internationale des Travailleurs Sociaux, on peut regarder l’espace de concrétisation de cet enjeu comme une mission, celle d’ « aider les personnes à développer leur potentiel, enrichir leur vie, et prévenir les dysfonctionnements. » Le travail social est issu d’idéaux humanitaires et démocratiques, et ses valeurs sont basées sur le respect de l’égalité, de la valeur, et de la dignité de tous.
. ..Concentré sur les besoins de l’être humain ainsi que sur le développement de son potentiel.  Les droits de l’homme et la justice sociale constituent à la fois sa motivation et sa légitimation.
…la profession vise le soulagement de la misère et la libération de personnes vulnérables, exclues et opprimées afin de renforcer leur capacité d’agir et leur participation à la vie de la société. (FITS-Québec- 2000)

[Le non travail  pourrait se définir comme un espace de vie non contraignant, appartenant en propre à l’individu, et lui permettant de construire et de jouir de ce qui lui reste comme lieux et temps indépendants ; Il est aujourd’hui déconsidéré, dans une société qui s’organise toute entière à travers et en fonction de dynamiques consuméristes toujours plus élaborées]

2- Le social. En appeler au social, c’est en appeler au socius, à l’associé, aux partenaires du quotidien, partageurs des tensions, des intentions et des attentions.
Redonner vie au contrat social, voici ce qui aurait plu aux premiers théoriciens de l’État moderne, Hobbes et Rousseau, dont les écrits et le combat visaient à la fois à réformer les institutions politiques et à permettre à leurs concitoyens, affranchis des tutelles traditionnelles, politique ou religieuse, de construire nouvelle société respirant et respectant les aspirations individuelles à la liberté, à la sécurité et au bien-être.  

 QUOD

A l’heure où les préoccupations sociales, sanitaires et sécuritaires, notamment à l’égard de la jeunesse14, vont grandissantes, le travail social peut à  bon droit et à bon escient s’interroger sur ses principes, ses valeurs, sa finalité. Il  est en outre interrogé sur ses méthodes, les formes qu’il prend et se donne,
- fondamentaux.
1-les principes : respect de l’individu
. Au rôle charnière et inscrit aux confins de multiples domaines15, il agit à la base de la communauté16 selon des principes,  libre adhésion17 et confidentialité18
2-les valeurs : primat du collectif.
- il tend à construire du lien social et une relation de confiance, à contribuer à l’émancipation des individus – en priorité ceux en proie à des processus d’exclusion et de précarisation
– à dresser des passerelles avec diverses structures existantes, à faire émerger les questions et problématiques auprès des autorités, à rendre la communauté attentive aux potentialités de chacun de ses membres,
3- la finalité : la démocratie
-  à renforcer une cohésion sociale et à insuffler des formes nouvelles de démocratie directe et participative, en particulier dans une vie de la Cité où cohabitent les « sans voix » (sans papier et sans capacité de vote) et un nombre conséquent de personnes qui boudent les urnes.

 QUO MODO
 
Formes et méthodes
 1-les contextes : immersion et adaptation

 A travers ses interventions, le TS s’affaire tout particulièrement à tenir compte du milieu naturel dans lequel évoluent les populations qu’il côtoie. Il n’a pas pour fonction d’imposer, d’interdire ou de normaliser un comportement. Sur le mode de la régulation, il est aussi dans ses cordes de favoriser une réalité par des suggestions qui s’appuient sur des objectifs définis (capacitation, inclusion sociale, réduction des risques, etc.).

2- Entre efficacité et équité :

Première pertinence, et premier attendu sociétal, l’efficacité :
En effet, corrélativement à ce que nous venons de mentionner, les pratiques sociales renvoient généralement  à « Cette volonté de prévenir, de dépister, d’éradiquer à la racine ce qu’on pense être néfaste, en particulier pour la société, le plut tôt possible, fait partie là aussi de concept hygiéniste, d’un néodarwinisme social dont les racines sont très anciennes. En deux mots, le problème n’est pas de savoir s’il faut aider des enfants et des parents tôt,  quand ils ont des problèmes. La réponse est évidemment oui, la Le problème est de savoir comment et pour quelles raisons et dans quel contexte on les aide. Le problème est de ne pas avoir l’illusion qu’une démarche purement socio-médicale par ex. permettra de régler l’ensemble des problèmes qu’on croit avoir détecté et qu’on veut prendre en charge. [1]
Ce qui est dit ici renvoie à une double perspective du travail social, à deux et différentes logiques aussi. La première qui met la prévention éventuellement en prémisses de l’intervention, sans lui donner plus d’importance que peut en avoir un avis (une personne prévenue…) ainsi fonctionnent les courriers envoyés en cas de retard, ou d’oubli de payer. On travaillera alors sur des indices[2], ou rapports, des signalements, qui partent d’un poste d’observation ayant toutes les qualités de la justesse et de la pertinence. La deuxième, pour laquelle mieux vaut prévenir que courir, et qui agit la prévention comme étant l’essentiel de l’intervention. Ceci devant permettre que ce qui est attendu, ou prévu par les « agents sociaux » en regard des contextes habités, les histoires vécues…n’arrive ou soit contré par des stratégies d’évitement, ou de détournement.
 Prévention ou action/ réaction, la pratique se formalise  peu à peu, il n’en reste pas moins qu’elle relève d’un véritable travail d’équilibriste qui met en tension et puise ses ressources dans un espace réflexif  à minima traversé par les questions éthiques : équité.
Dans la rue (parcs, places publiques, gares, quartiers, etc.) et les « mi-lieux » de vie (cages d’escalier, entrées de magasins, appartements, hall commercial, toile internet, etc.) de diverses populations, s’informer, s’immerger, écouter, observer, aller vers21, oser, créer du lien, faciliter, accompagner, mettre en lien ou recommander sont autant de verbes qui caractérisent le travail social  
Au travers d’une relation personnalisée avec les populations rencontrées et sur le devant de la scène des questions, tendances ou problématiques, cela confère au TS une capacité de repérer les premiers signes de situations susceptibles de péjorer la qualité de vie desdites populations et, de ce fait, une posture privilégiée pour agir.

3- entra assignation et émancipation : du il au tu et du tu au nous ?

Mais la difficulté est là, qui doit tenir compte d’une et de plusieurs histoires, chaque fois référées à des contextes et milieux scolaires, et des conditions de genèse socialisatrice reprises par les familles. En effet, de manière précoce et au travers des espaces d’instruction ou de formation, la société, en Suisse ou en France d’ailleurs, a une capacité inouïe d’infliger à ses apprenants  (écoliers, collégiens, etc.) un conditionnement de nature mortifère, c’est à dire propice à produire de la passivité et de l’ennui, à « tuer » dans l’œuf une expression fondamentale du vivant, à savoir une faculté à être, à réagir et à créer.
REF :  loi du 2 janvier 20022 est très complexe parce qu’elle joue sur des évidences.
 1-place centrale   donnée à l’usager : les travailleurs sociaux, qui l’avaient quelque peu oublié  accompagnent un sujet dans sa particularité, sa singularité, dans son histoire de vie qui est unique.
2- Or les professionnels mettent de côté deux choses.  
-  la question du collectif : à quel moment, « l’usager », la personne que l’on accueille, peut aussi s’inscrire dans un processus avec d’autres pour réfléchir et agir avec eux dans une sorte de pratique plus communautaire ?
- la compréhension contextuelle, sociale, politique de ce qui a amené le sujet à être dans cette situation-là : on fait l’économie du sens et de l’analyse politique qui sous-tend cette situation
3- Par le passé, le travail social se contentait de disciplinariser le corps des usagers ; aujourd’hui, il ne se contente pas de continuer à disciplinariser ces corps ; lui-même, il est disciplinarisé pour mieux disciplinariser le corps des usagers.
 Avec le rapport de Bertrand Schwartz sur l’insertion sociale et professionnelle des jeunes (1981), le rapport Bonnemaison (1982), le rapport Dubedout (1983) qui permit la mise en œuvre d’une nouvelle politique dite de Développement social des quartiers (dsq), les politiques d’insertion se sont déployées selon une nouvelle ampleur.
L’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981 et avec elle celle d’un certain nombre de cadres associatifs ont fait qu’à partir de 1985 nous n’étions plus dans ces logiques-là. Du coup, la décentralisation aidant, il y a eu un renforcement de la position de l’autorité publique et le travail social s’est vu peu à peu mis dans une position d’assignation par la commande publique,

4- un loup, trois lieux et trois petits cochons ;

Le loup est là qui cherche à dévorer les moutons, la chèvre de monsieur Seguin, et que vont faire les  trois petits cochons ?
Ø  Qui est le loup ?
Celui qui met en danger l’ordre social, l’équilibre sociétal, les possessions ou les sujets, qui inscrivent leur volonté et leur désir dans des espaces acceptés, et reconnus, et valorisés…Or,
      Certaines personnes ont la possibilité de s’inscrire dans les codes, les normes et les attendus de la société.
»     D’autres pas.
      dans le contexte du travail et de sa rétribution, On les nomme:
      Marginaux Exclu-e-s Discriminé-e-s Dominé-e-s Prostitué-es, Esclaves
      ou………personnes aux statuts précaires:
                                    faiblesse de la qualification, étroitesse de l'accès aux droits,
                                    fragilité contractuelle difficultés relationnelles
      Il en va de même lorsque voulant désigner une population spécifique,
                        étrangère par exemple, on parle d’immigrés ou de migrants
            ….Rien n’est dit. Et tout est à faire….tout est à reprendre, ou reconstruire
      Il y aurait donc dans notre société, des personnes et des groupes
                                               appartenant au-dedans, et d’autres, au dehors.

ü  La maison de paille : Le Noctambule.
Lors de présence nocturne proche des milieux festifs (bar, salle de concert, discothèque, habitation privée sur invitation, etc.), dans la rue, le centre-ville ou les quartiers, le TSHM croise du monde et entretient des liens, notamment avec des populations qui apparaissent exclusivement au crépuscule. A condition qu’elle se fasse de manière non intrusive ou qu’elle s’adosse à d’autres démarches d’accompagnement social, individuel ou collectif, la présence du TSHM permet d’aborder la manière la plus courante, pour ne pas dire sociale, d’occuper la nuit ; à savoir la fête, la musique, la recherche d’une conscience modifiée (danse, transe, alcool, psychotropes, etc.), le bruit, la mise à l’épreuve des limites (les siennes et celles relatives au cadre légal/sociétal) et l’introspection existentialiste - la nuit comporte en elle une prédisposition à soulever des questions philosophiques -, sur le rapport à la mort ou le sens de la vie par exemple. Avec sa posture de « tiers maïeutique », le TSHM peut avoir une influence positive sur certaines personnes dans leur capacité à (re)trouver du discernement et à éviter de se « fourrer », parfois à leur insu22, dans des conduites nuisibles, telles que l’escalade vers la surconsommation d’alcool (binge drinking), la prise du volant en état d’ivresse, la bagarre, etc.

ü  Le chalet de bois : entre van et HLM
Il participe de l’attention à la spécificité du public, le TS qui se désimmobilise pour s’établir en camionnette au plus près des lieux de vie, de survie, de non vie, de ceux et celles qui, retranchés dans leur milieu naturel, espace ultime de légitimation ou d’autolégitimation sociale, affectés par le mépris ou l’exclusion (primauté de la compétition ou de l’élitisme), la précarité ou la désolation (plus rien à perdre) adossées à l’absence de projet de vie,  sont disposées à rechercher une réalisation de soi dans une « lutte pour la reconnaissance » (Honneth 2000) sans merci et dans les formes les plus extrêmes d’aliénation (trafic en tout genre, intégrisme religieux, proxénétisme, etc.), terrain fertile à une conduite addictive.
Il s’agit de répondre à ces formes de mal vie, à la fois refuge et psychotique, à ces tendances persistantes, sinon croissantes, dans un rôle de tiers,  en capacité de travailler avec tout public, sans discrimination sociale23, sexuelle, religieuse, ethnique ou politique. A visées éducative, sanitaire et sociétale, dénuée de toute intention coercitive24, quelle action peut-elle se prévaloir de disposer d’un lien privilégié25, voire intime, avec ces publics ?

ü  La grotte de Pierre…
En permanences et bureaux bien situés, bien repérés, à proximité des lieux officiels, voici que sont partagées par qques unes/uns les stations assises d’attente de visites des plaintes ou des aveux, demandes et prières. Les indigents sont là, qui viennent effacer les malheurs du travailleur social esseulé, et essuyer de leurs plaintes les larmes des mauvaises consciences devant ces usagers presque à bout, mais dont les cas ne sont jamais aboutis.

·         Et si la pratique sociale visait à l’acquisition de la maturité ?
-       La « maturité » se caractérise quant à elle, par la construction d’un mythe personnel qui tolère l’ambiguïté, qui, par exemple permet au sujet de considérer comme vrais deux regards contradictoires sur sa vie. Plutôt que d’opérer en référence à des vérités absolues, la pensée portant sur l’existence personnelle devient « post-formelle » ; elle se focalise sur des « vérités spécifiques d’une situation, sur des solutions et des inférences logiques qui sont reliés à, et définis par des contextes particuliers. » MacAdams.
En faisant bouger les frontières
  La frontière est un lieu (abstrait) doué d’une épaisseur et support d’une dynamique, d’un mouvement. Elle acquiert une matière et un volume spécifiques selon la nature des faits observés et les processus qui la traversent.
Peut-on être d’accord sur les rôles tenus et/ou à tenir par le travail social, entre ceux qui le font être contributeur à la sécurité sociale, et ceux qui lui permettent de faire du lien comme témoin et médiateur de logiques de fonctionnement et d’aspiration contradictoires et parfois antinomiques.
      Les T.S. : des agents intermédiaires, mis au service d'une double faiblesse :
     l'incapacité d'une société urbaine à se faire entendre, comprendre et accepter
     et la difficile réponse d'histoires malmenées et mal assurées.

   nouveau type d’intervention
      métier hybride, placébo ou « travail d’équilibriste » à réaliser
      entre l’aide et l’écoute des habitants et la coopération avec les institutions, sans paraître à la solde des uns ou des autres
      dépasse le cadre du seul champ social 

   les banlieues ont la fièvre : la ville,
                                         et les rapports sociaux sont malades.
      les techniques professionnelles sont devenues inadaptées
      les métiers doivent changer. 
      initiatives,  mal reconnues,  précaires  déstabilisantes

   articuler les dispositifs pour rompre avec l’émiettement des prises en charge 
       ternariser une relation duelle conflictuelle et comportant des risques mortifères
       activer une transversalité
      Atténuer l’invisibilité sociale.

Des passeurs de sens, au service d’une double cécité ?
3 tensions :
- tension entre une vision solidariste des droits et de l’État social dont Pierre Rosanvallon (1995) disait, sans doute un peu rapidement, qu’elle avait fait son temps, et une vision (ultra)libérale où l’accent est d’abord mis sur les devoirs des gens et leur responsabilité personnelle, engagée quelles que soient leurs conditions de vie et toujours davantage contractualisée
- tension entre le souci républicain de protection des individus (dont l’assistance fut, à la Révolution, une des matrices (Murard, 1988), la Déclaration des droits de l’homme du 24 juin 1793 énonçant que « les secours publics sont une dette sacrée ») et la sécurité disciplinaire, qui vise avant tout la « défense de la société » (Foucault, 1997), dans une volonté de protection du corps collectif contre ce qui est désigné et stigmatisé comme déviance et monstruosité : en passant des classes dangereuses d’hier à un nouveau « lumpen-prolétariat »
- tension entre le principe de précaution assigné par l’administration aux protecteurs, et intériorisé par ceux-ci au regard de la « gestion des risques » (Castel, 1981) – les difformités erratiques du traitement du social – et des inventions expérimentales qui, revendiquées, se font aux « abords » des dispositifs institutionnels.
Biblio.
Lebrun Jean-Pierre (dir.), Volckrick Élisabeth (dir.).- Avons-nous encore besoin d’un tiers ? – Ramonville Saint-Agne : Érès, 2005.- 205 p.- (Coll. Humus, subjectivité et lien social)
Artison, V. 2015. Le travail social hors murs et les enjeux de sa formalisation. Focus sur les notions de sécurité et d’insécurité. Berne, Peter Lang.

Bayart, J.-F. 1996. L’illusion identitaire. Paris, Éditions Fayard.

Beaune, C. 1999. Éducation et cultures. Du début du XIIe siècle au milieu de XVe siècle. Paris, Sedes.

Barley, N. 1994. Un anthropologue en déroute. Paris, Petite Bibliothèque Payot.

Camilleri, C. 1985. Anthropologie culturelle et éducation. UNESCO. Lausanne, Delachaux et Niestlé.

Castel, R. 2003. L’insécurité sociale. qu’est-ce qu’être protégé ?, Paris, Editions Seuil-La république des idées.

Delory-Momberger, Christine. 2015. De la recherche biographique en éducation. Fondements, méthodes, pratiques. Paris, L’Harmattan.

Demorgon, J. et Lipiansky, M. 1998. L'histoire interculturelle des sociétés. Paris, Anthropos.

Donzelot, J. 1994. L’invention du social. Paris, Fayard.

Fernandez, B. 2001. L’homme et le voyage, une connaissance éprouvée sous le signe de la rencontre, dans R. Barbier (dir.), Education et sagesse : la quête du sens. Paris, Albin Michel. P72-87.

Heullant-Donnat, I. (dir.). 1999. Education et cultures. Occident Chrétien XIIe-mi XVe siècle. Paris, Ed. Atlande.

Todorov, T. 1989. Nous et les autres. La réflexion française sur la diversité humaine. Paris, Éditions du Seuil.

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Vieille –Grosjean, H. 2013 « les relations interculturelles, une terminologie à clarifier », in Dietrich Chenel K. et Weisser M. L’interculturel dans tous ses états ; Orizon, université.p 77- 93.

Vinsonneau, G. 1997. Culture et comportement. Paris, A. Colin.



[1] » Jean Claude Ameisen - Implications éthiques des avancées conceptuelles en biologie. Cours mis en ligne sur youtube et consulté le 15 décembre 2014 depuis le lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=TCeuRJE4Fnw

[2] Cf Paerce, image indice et symboles.

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